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Choisissons-nous de souffrir inconsciemment ?

Dernière mise à jour : 11 mars



Mais a-t-on vraiment le choix ?

« Le choix sous-entend de la conscience, un degré élevé de conscience. Sans elle, vous n’avez pas le choix. » Eckhart Tolle

Le choix existe à partir du moment où vous êtes présents, conscients des schèmes de conditionnement et de votre identification à votre mental. Mais avant cet instant, vous êtes inconscients, spirituellement parlant. Vous subissez vos pensées, et agissez en fonction du conditionnement de votre mental (de ce que vous avez appris ou pas). Vos choix inconscients vous amènent inlassablement aux mêmes résultats, c'est à dire la souffrance comme par exemple des relations conflictuelles (travail, familiales, amicales), dépendances affectives (voir toxiques), des difficultés à se connecter aux autres, ennui (recherche compulsive de sensations fortes), problèmatique de harcèlement... parfois quand l'identification est forte cela engendre des maladies.


Personne ne choisit le dysfonctionnement, le conflit ou la douleur. Personne ne choisit la folie. C’est ce qui se passe quand il n’y a pas assez de présence, pour dissoudre le passé, ou pour s'extraire de l'illusion d’un futur meilleur. 

Vous n’êtes pas totalement ici. C’est le mental conditionné qui gère votre vie. Vous survivez.


Si vous êtes une de ces nombreuses personnes à avoir une problématique parentale, à ressasser encore du ressentiment envers vos parents, pour ce qu’ils ont fait ou pas fait, c’est que vous croyez encore qu’ils avaient le choix, qu’ils auraient pu faire autrement. 


On a toujours l’impression que les gens avaient le choix mais c’est une illusion.

Aussi longtemps que vous vous identifiez à votre mental, quel choix avez-vous ?

Aucun. Vous n’êtes même pas là.


Mais alors comment on fait ?

L’identification au mental est un état hautement dysfonctionnel, une forme de démence.

Presque tout le monde en souffre à des degrés variables.

Dès l’instant où vous prenez conscience de cela, il ne peut y avoir du ressentiment.


Comment pouvez-vous éprouver du ressentiment vis-à-vis de la maladie de quelqu’un ?

La seule attitude possible est la compassion (et l'acceptation totale de ce qui est).


Si c’est votre mental qui gouverne votre vie (bien que vous n’ayez pas le choix) vous souffrirez encore des conséquences de votre inconscience, et créerez davantage de souffrances. Mais la souffrance vous aidera à un moment ou un autre, à sortir de votre état d’inconscience. Le cancer a été une opportunité extraordinaire pour me remettre à vivre, je n'aurais peut-être pas pu le comprendre autrement... Je n'ai pas eu le choix !


À partir du moment où je me suis désidentifiée de la maladie, et que je l'ai remis à sa juste place, c'est à dire faisant partie d'un tout, la reconnaissant comme une condition de vie et non ma vie, alors j'ai pu voir la vie autrement ! Et ça change tout.

Cela dit vous n'êtes pas obligés d'attendre d'avoir un cancer pour commencer à vivre.


C’est seulement en accédant au pouvoir de l’instant présent, là où est votre pouvoir propre, et de réaliser profondément que rien ne peut abimer l’essence de votre être.

C’est dans cet esprit, que le pardon devient alors inutile.


DÉPOLLUTION ESPRIT


Lorsque vous lâchez prise face à ce qui est, et devenez totalement présent, le passé et futur perdent tout pouvoir. Vous n’en avez plus besoin. La présence au présent est la clé !

Le règne du mental comme maître absolu est révolu.
Tout jugement et négativité disparaissent.

L’Être masqué par le mental, se révèle alors, et en découle une paix profonde, une grande joie, au cœur de l’amour, et au cœur de tout cela, le sacré, l’indescriptible.


L'ancrage est un outil exceptionnel : On lâche le mental pour nous comprendre et nous accepter pleinement. Et lorsque le besoin se fait ressentir, nous pouvons nous laisser aller à la détente, à l’évasion sans vaciller en toute autonomie…

 

Pratiquez tous les jours !

Ce qui était un exercice devient une habitude, habitude qui devient une façon de vivre, une façon de vivre qui devient votre vie.


Pas besoin de 10 ans de thérapie, une seconde suffit, pour vous rendre compte que vous êtes en vie... Et c'est déjà un miracle ! N’oubliez pas, le temps et la souffrance sont indissociables.


Dépolluez votre corps de tout ce qui l'empêche d'être en pleine forme !

Devenez Maître de votre vie en découvrant la nouvelle Boutique de la Résilience en ligne !


🌳Prendre soin de vous est un acte d’amour mais aussi un acte citoyen (du monde😉)

Parce que si vous allez bien, les autres aussi, et ça commence par là

🌳 Consommons moins, consommons mieux !


Anne-Sophie Moreau



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